Paroles Originale de la Chanson “NEI LETTI DEGLI ALTRI par Mahmood”
[Strofa 1]
Ci ho rimesso un po’ di tempo per capire che
L’ostacolo più grande nelle relazioni sono io
C’era solo neve nei miei sogni, sai perché?
Tutto questo freddo è stato figlio dell’ultimo addio
Non voglio scappare dallo stare bene, fanculo l’onore
Dovevo sbronzarmi a Manchester capendo che
C’è una parte di me che non si è mai arresa
Lascerò la presa
[Ritornello]
Per non farci più male (Ah), male
Potremmo parlare anziché immaginarci
Nei letti degli altri pеr dimenticarci
Fa solo più male
Restiamo lontani pеr avvicinarci
Confesso in un bagno sentimenti e sbagli
Fa solo più male
[Strofa 2]
Scusa se non mi ricordo mai il tuo compleanno
Per la mia memoria di merda do la colpa all’erba
È da bambino che mi incanto guardando le lucciole
Diceva mia madre che ho la testa tra le nuvole
Stando bene solo mi sentivo un po’ colpevole
Ora leggo poco, ma in passato tra le pagine
Creavo del muri d’argento forse per difesa
Lascerò la presa
[Ritornello]
Per non farci più male, male
Potremmo parlare anziché immaginarci
Nei letti degli altri per dimenticarci
Fa solo più male
Restiamo lontani per avvicinarci
Confesso in un bagno sentimenti e sbagli
Fa solo più male
[Bridge]
Se cerchiamo di esser veri
Quelle dipendenze lasciate ieri tornano
Insegnami a cancellare gli sbagli
Perdonami se non sono Leopardi
Ci son lati di questo mio tormento che solo tu vedi
Già lo sai, in questo trip siamo i soli abitanti
[Outro]
Per non farci più male, male
Potremmo parlare anziché immaginarci
Nei letti degli altri per dimenticarci
Fa solo più male
Traduction en Français de la Chanson “NEI LETTI DEGLI ALTRI par Mahmood”
J’ai mis un peu de temps à comprendre que
Le plus grand obstacle dans les relations, c’est moi
Il n’y avait que de la neige dans mes rêves, tu sais pourquoi ?
Tout ce froid est le fruit du dernier adieu
Je ne veux pas fuir
Le bien-être
Merde à l’honneur
Je devais me saouler à Manchester en comprenant que
Il y a une partie de moi
Qui n’a jamais abandonné
Je lâcherai prise
Pour ne plus nous faire de mal (Ah), de mal
Nous pourrions parler au lieu de nous imaginer
Dans les lits des autres pour nous oublier
Cela ne fait qu’empirer
Nous restons éloignés pour nous rapprocher
J’avoue, dans une salle de bain, sentiments et erreurs
Cela ne fait qu’empirer
Désolé si je ne me souviens jamais de ton anniversaire
Je blâme ma mauvaise mémoire sur l’herbe
Depuis que je suis enfant, je suis fasciné par les lucioles
Ma mère disait que j’avais la tête dans les nuages
Je me sentais un peu coupable d’être bien seul
Maintenant je lis peu, mais dans le passé, entre les pages
Je créais des murs d’argent
Peut-être par défense
Je lâcherai prise
Pour ne plus nous faire de mal, de mal
Nous pourrions parler au lieu de nous imaginer
Dans les lits des autres pour nous oublier
Cela ne fait qu’empirer
Nous restons éloignés pour nous rapprocher
J’avoue, dans une salle de bain, sentiments et erreurs
Cela ne fait qu’empirer
Si nous essayons d’être vrais
Ces dépendances laissées hier reviennent
Apprends-moi à effacer les erreurs
Pardonne-moi si je ne suis pas Leopardi
Il y a des côtés de ce tourment que seul toi vois
Tu le sais déjà, dans ce voyage, nous sommes les seuls habitants
Pour ne plus nous faire de mal, de mal
Nous pourrions parler au lieu de nous imaginer
Dans les lits des autres pour nous oublier
Cela ne fait qu’empirer.
