PAROLES

[Intro : tag]
Shiruken Music

[Couplet 1 : HK La Paille]
C’est à 10 heures qu’il s’ramène le bosseur, guetteur à 11 heures 30 sur un booster (shoo, shoo)
Faut qu’tu relativises, le Capri est vide donc j’le réutilise pour du shit
Il font les durs que sous résine, par ici la résine agace l’hérésie (shoo, shoo)
Le [reptile sent tout d’suite?], fait pas ton dur et les petits contre du fric, font partir des 10
J’vais m’les faire ces enculés (‘culés), les p’tits sont passés du gramme au kilo (kil’)
Et si les bleus débarquent sur le R, j’me mets à courir par la droite comme Danilo
La musique engendre la jalousie des gens donc je sors avec un 9 M’ entre les jambes (pah, pah)
Elle aime la côte, oui, elle aime les gars, que du niquage de nuque comme dans SNK

[Pont : HK La Paille]
Là, j’vois un camion, nan, c’est pas les ambulanciers, c’est forcément les keufs au charbon
Ils sont coupable, coffré sans doute pour un stick et té-ma la j’retire mon chapeau
J’suis dans la [‘troën ?], ôte son pull en cashmere, quand c’est fini, j’m’en vais chez Margaux
Si elle s’en va d’chez toi pour nous rejoindre, c’est juste qu’elle aime la lle-p’ et Tiakola

[Couplet 2 : HK La Paille]
J’faisais semblant de partir au foot, y avait que des pochtons entre mes crampons (shoo, shoo)
Tout cellophané, j’pars à Milwaukee, négro, S/O
Giánnis Antetokoúnmpo
À la base, j’étais pas mal à l’école, j’voulais impressionner les filles à l’époque
Les profs me disaient qu’j’étais qu’un cancre, maintenant, sa fille aînée m’voit à l’écran (ouh)
Il me reste quelques [lofis ?] entre les dents, au feu rouge, elle m’dit : “Touche-moi les tétons” (ah, ah)
La nuit, j’ai les mêmes sommes que Arturito (shee) et j’fais ça sans Jacky et sans pétou (ouh)
Dans la nuit, c’est elle-même qui ferme les rideaux, 9 heures, j’dois m’lever pour aller per-cou (han)
Tu baisseras les bras si tu les écoutes (ouh), rendez-vous au sommet pour les plus cons, eh, eh, HK

[Couplet 3 : Tiakola]
J’rentre de force comme un dunk de LeBron ou bien comme les porcs
J’en ai vu plein se faire prendre des tartes, c’est en silence que j’prépare la vendetta
Même si y a plusieurs années d’écart, on a porté nos couilles, on n’a pas fait genre
Zanotti, tu t’y attendais pas, [fan ?] sur Bouffon, c’est Zizou la panenka (eh)
Hum, ça sent la mauvaise affaire, 10 000 euros à la coupée
Tant pis, je prends l’escalier de jour en jour, j’m’affirme, tout ton poignée est embellit, t’as peur
Hum, bébé, laisse toutes tes affaires, j’en prendrai des autres, y a plus d’temps à perdre
Y a deux-trois jaloux qui aimeraient bien nous faire, t’as pris du temps donc maintenant
J’suis dans le hall, il faut pas me faire chier, j’ai des blèmes-pro qui passent les frontières
Nique sa re-mè même si j’porte Givenchi, y a tout c’qui est difficile à franchir
C’est la merde, tu t’fous dans une salade (salaud), t’as voulu v’-esqui comme Salah
Mon gars, c’est sale hein, t’es dans une sale histoire, on t’en veut pas d’avoir la [?]
Ok, regarde comment ils sont choqués, dans un piège, mes frères sont bloqués, va porte d’Italie, j’ai sirote ton cocktail
C’est Bné qui fait son inser’, dans le bâtiment, ça devient un showcase (yeah, yeah, yeah)
C’est le bordel, partout on y va, c’est le bordel (yah, yah, yah, yah)

[Pont 2 : Tiakola]
Pas de sentiment, j’y vais pas gentiment, tous les lundis, j’veux l’biff de la fin du mois
Beaucoup de dineros, dis-le moi, dis-le moi, si t’es là que pour ça, j’te mets au petit coin, petit con
J’ai aucun sentiment, j’y vais pas gentiment, j’veux l’biff de fin du mois
Ne rentre pas ce soir, bébé, je n’ai pas l’temps

[Refrain : Tiakola]
Et même si ça m’fait du mal (et même si ça m’fait du mal)
C’est pas d’mon côté que ça crie “à l’aide” (c’est pas d’mon côté que ça crie “à l’aide”)
Le charbon : c’est le quotidien (le charbon : c’est le quotidien)
Après le boulot, c’est tranquille, à l’aise (après le boulot, c’est tranquille, à l’aise)
Et même si ça m’fait du mal (et même si ça m’fait du mal)
J’suis pas celui qui va crier “à l’aide” (j’suis pas celui qui va crier “à l’aide”)
Le charbon : c’est le quotidien (le charbon : c’est le quotidien)
Après le boulot, c’est tranquille, à l’aise (après le boulot, c’est tranquille, à l’aise)

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