PAROLES

[Intro]
Couler, couler, couler, couler
Noir
Gang

[Couplet 1]
Au volant d’un bolide, j’repense à ma Mégane avec laquelle, j’ai fait des distances (ouais)
En comptant ma liasse, j’repense à ce pétard, avec lequel je pouvais prendre dix ans (ouais)
En fumant cette drogue, j’me suis dis qu’j’étais con donc j’ai préféré la cellophané
L’amour ça rend moche, à force d’aimer les sous, j’ai vendu la blanche et ça m’a fané (gang)
J’voulais d’une vierge comme Marie, mais j’tombe sur des F qui veulent croquer la pomme, pomme, pomme
Un peu discrète comme Alicia Keys, j’suis pas Drake, t’es pas Rihanna, s’te-plaît, rom-pom-pom
Ali s’est battu toute sa vie, mais j’préfère la conclusion à Tyson (ouais)
L’esclavage c’était avant, j’baisserai pas la tête si j’tombe sur les Babylone (oh)

[Pré-refrain]
Y a toujours un fils de qui t’lâchera pour une paire de Honda
Des sentiments pour elle, mais dans la rue, devant un gros cavu, tu banderas
Y a toujours une gonzesse qui t’lâchera pour des ches-po plus remplies (plus remplies)
Tu t’voyais finir avec, mais partir ailleurs, je sais qu’tout ça, ça rend triste

[Refrain]
J’ai trop fait d’mal pour finir au paradis (j’ai trop fait d’mal pour finir au paradis)
Trop d’fierté pour avouer qu’j’ai fauté (trop, trop, trop)
On sait v’-esqui l’orage avec un parapluie (v’-esqui l’orage avec un parapluie)
C’est pas en criant “arrête” que le sang va cesser d’couler (couler, couler, couler)

[Post-refrain]
Noir, noir
Noir, noir
Noir, noir
Noir, noir

[Couplet 2]
Grosse bosse dans les chaussettes, plus de place dans le survêtement
Qu’les billets qui font sortir mes fossettes, un jour, aussi riche que [23, 10/dit ?] LeBron
Serrer les lacets quand il fallait, j’ai couru pour chercher la monnaie
Trace de menottes aux poignets, à la sortie, j’repartais tasser les billets (ouais)
J’ai toujours (toujours) voulu (voulu) sans avoir à faire comme eux (ouais)
Regarde-moi (regarde) aujourd’hui, le même portefeuille que les plus vieux (ouais)
Ma vie fait des rotations, des fois, j’me dis qu’c’est la fin
L’ange de la mort me colle à fond, j’le trouve un p’tit peu trop coquin (coquin)
La chance n’existe pas, un peu comme les contes de fée
Chez nous, c’est comme dans Kirikou, ça crie “akha” quand y a la P

[Pré-refrain]
Y a toujours un fils de qui t’lâchera pour une paire de Honda
Des sentiments pour elle, mais dans la rue, devant un gros cavu, tu banderas
Y a toujours une gonzesse qui t’lâchera pour des ches-po plus remplies (plus remplies)
Tu t’voyais finir avec, mais partir ailleurs, je sais qu’tout ça, ça rend triste

[Refrain]
J’ai trop fait d’mal pour finir au paradis (j’ai trop fait d’mal pour finir au paradis)
Trop d’fierté pour avouer qu’j’ai fauté (trop, trop, trop)
On sait v’-esqui l’orage avec un parapluie (v’-esqui l’orage avec un parapluie)
C’est pas en criant “arrête” que le sang va cesser d’couler (couler, couler, couler)

[Post-refrain]
Noir, noir
Noir, noir
Noir, noir
Noir, noir

[Outro]
Couler, couler, couler, couler
Noir, noir
Couler, couler, couler, couler
Noir, noir, noir, noir

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