PAROLES

Dis-moi où t’étais quand je jouais avec la mort
Dis-moi où t’étais quand je bouffais des remords
La haine jusqu’à n’en plus pouvoir
Des yeux pour consulter l’oracle
M’éloigner du trou noir, éviter l’orage
Ce qu’on n’a pas a plus de valeur dans nos rétines que
Ce putain d’bonheur, ces sourires parfois même épineux J’pourrais rapper pendant cent ans mais réussir qu’une seule fois J’pourrais contenir ma colère de mes entrailles à mon foie

Laissez-moi goûter au Valhallah
Plonger dans mon vague à l’âmе
Renaître pour mettrе un terme à tous ces drames
Tu veux mon cœur, va te faire foutre, il est déjà abimé
Je connais les peurs comme les doutes puisque j’les ai décimés On a tous perdu l’sommeil, le soleil nous fascinait
On a tous peur de la neige, combien se sont gelés ?
J’rêve à l’envers, l’enfer c’est l’paradis
Sans mes vers, j’vais vers nuages et pluie
Les pieds sur terre, la tête dans la folie
J’m’envole au ciel, sur la mer j’atterris

Je ne vois plus mes péchés dans le rétro
Souvenir d’un passé que j’aimais trop
Vision de mon reflet dans l’verre de trop (ohoh)
Je pense à m’évader avant l’outro
Elle me dit « Chiloo j’ai plus d’temps à donner »
Le mien s’arrête quand le réveil a sonné
Les cauchemars, je n’arrive pas à les semer
À part quand la drogue vient m’assommer

Je suis comment vous dites « paranoïaque »
Indécis, j’hésite entre Jack D ou Poliak
Elle fait signe, la mort n’attend pas qu’on se décide
Et si, tout s’arrêtait en un battement d’cils ?
Tout part à la dérive, les flots me coulent, me délivrent
C’est l’histoire d’un bateau ivre qui s’écrase sur la rive
L’histoire d’un jeune rappeur dont la fin sera terrible
L’histoire d’un drapeau noir que seul le malheur érige
Laissez-moi goûter au Valhallah
Plonger dans mon vague à l’âme
Renaître pour mettre un terme à tous ces drames

Je ne vois plus mes péchés dans le rétro
Souvenir d’un passé que j’aimais trop
Vision de mon reflet dans l’verre de trop (ohoh)
Je pense à m’évader avant l’outro
Elle me dit « Chiloo j’ai plus d’temps à donner »
Le mien s’arrête quand le réveil a sonné
Les cauchemars je n’arrive pas à les semer
À part quand la drogue vient m’assommer

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