PAROLES

Paroles de “Dajak – INFINI Featuring Tuerie”

[Refrain : Dajak]
Y a des rides qui se cachent sous mes cernes
Y a la vie qui efface tous mes rêves
Et puisque tous les jours, je m’évapore vers l’infini
J’calcule pas trop, baby, serre-moi fort à l’infini
Si je fuis, si je pars loin des ‘blèmes
Là où l’ciel vide ses larmes et ses peines
Puisque tous les jours, on s’évapore vers l’infini
J’calcule pas trop, baby, serre-moi fort à l’infini
Cours vers le vide vеrs…

[Couplet 1 : Tuerie]
La douleur comme pensе-bêten le Diable comme trouble-fête
Toujours ce jeu d’enfant entre le vouloir et l’être
Avec une gâchette, j’réalise un rêve
Ou avec de l’amour mais ça coûte un rein
Donc je trouve des excuses comme un jeune prépubère
Je suis dans l’escalier, on m’dit : “Re-noi, renvoie l’ascenseur”
J’suis à la fois si proche du but et si proche du deuil
Y a les flics en ad-libs dans ma tête
Y a les streams qui me guettent
Et toi, t’es là, tu t’évapores tout doucement
Alors que j’vais les baiser fort, baiser fort
L’odeur d’une dernière clope me donne la gerbe
J’ai l’impression que toutes mes pensées germent
Au début d’mes couplets, j’prends toujours cette petite voix d’merde
Parce que je me sens comme une merde
Mais j’ai toujours envie de chanter le blues que j’ai sur le cœur
P’t-être que l’infin,i c’est juste une pensée de suicidaire
Si tu sais, dis-moi juste quand on atterrit

[Refrain : Dajak]
Y a des rides qui se cachent sous mes cernes
Y a la vie qui efface tous mes rêves
Et puisque tous les jours, je m’évapore vers l’infini
J’calcule pas trop, baby, serre-moi fort à l’infini
Si je fuis, si je pars loin des ‘blèmes
Là où l’ciel vide ses larmes et ses peines
Puisque tous les jours, on s’évapore vers l’infini
J’calcule pas trop, baby, serre-moi fort à l’infini
Cours vers le vide vers…

[Couplet 2 : Dajak]
Cinq heures du mat’, l’esprit brouillé, la brume qui s’colle à la f’nêtre
Contre ma peau, y a ton corps nu, y a les paillettes de la veille
Y a nos affaires sur le linteau, y a l’infini dans la pièce
Quand tu respires dans le silence, ça m’donne moins mal à la tête
Mais là, faut que j’reparte, première tournée, j’fais des salles vides et des pleines
Quelques groupies, un peu d’oseille, d’adrénaline et des cernes
J’me sens vivant et puis, j’vois du sang qui coule après l’concert
J’rêve plus d’succès, j’rêve plus d’fortune, j’veux juste passer l’quart de siècle
Et j’vois ma vie qui défile, très peu de sunshine, beaucoup de clopes et d’câbles jack
Dans l’reflet de l’écran, un peu de tristesse et des joues creusées par le time
Il est tellement doué, il a l’air essoufflé, il court après des rêves mais c’est ses rêves qui l’ont étouffé
J’veux plus m’battre, j’veux juste qu’on s’en aille vite avant qu’il soit trop tard
Et j’veux plus avoir l’air morose, toujours à la recherche de quelque chose
Et puisqu’ici, le temps presse, on partira avant l’aube loin de l’ombre et des névroses
Puis, on disparaitra far away
Là où la mort pourra pas m’trouver
Et le temps paraitra moins lourd, caché dans le creux de ton cou
Entouré par des centaines de roses

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