PAROLES

[Intro]
Voluptyk, Voluptyk, Voluptyk
Check, uh
One shot, check, uh

[Couplet unique]
Le ciel sur l’emblème de ma maison, on dissèque, on mesure la fracture
La famille, la devise, le blason, on inquiète, on rassure, on facture
Triste comme un verset corinthien, comme un million de morts indiens
Rien ne dépassera le solstice, on maçonne, on construit, on maintient
Sous la luna, le sol est rougi (ouais), toute la loge est remplie de bougies (ouais)
Mais quelque chose est vivant sous la neige, les deux Testaments n’ont pas tout dit (paw, paw, paw)
Et j’ai des regrets vieux comme dix Babel, d’autres de la taille de Michael
À la faveur de l’obscurité, quelques-uns m’ont trahi mais pas elle
Parlons-en entre ceux qui vivent cette vie comme un siècle de disette
De c’qui est bon sur les arbres, Matthieu, chapitre 7, verset 17
J’y pense sous les hauteurs de Gizeh (ouais), le front est posé sous le plateau (ouais)
Ne vous en déplaise mais mon Seigneur (paw, paw, paw, paw, paw) n’a que faire de titres et de châteaux
Dites-leur que j’ai tout manigancé, mes plans sont noircis comme la vertu
Le tout fait des ronds dans mes pensées, coincé dans la salle n’est pas perdu
C’est dur comme un gosse qu’on a vu partir, c’est mille coups de couteau dans mille artères
Ce soir, Père Castor raconte une histoire qui pourrait faire pleurer un milliardaire
Mon premier n’est ni contre, ni pour, mon second n’attendra pas Kippour
Mon troisième a l’regard illuminé, mon [todos ?] n’a jamais revu l’jour
Et mi casa, c’est pas tu casa, j’me rappelle quand j’montais le Barça
De quand ils ont vu Fianso partout, de quand ils ont crié : “Tout mais pas ça !”

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