PAROLES

[Couplet 1 : Furax Barbarossa]
Je l’ai rêvée d’après des livres ma régate aux Maldives
Mais je m’endors entre ma Benelli et ma Renato baldi
J’avais d’la peine, d’la mèche j’avais des lignes…
J’écris j’amène la paix, d’la neige à Medellin
Ça va parler violon ça va parler rital
Inévitable ça va barder violent c’est ma part d’l’héritage
On fait d’nos pères des darons chauves, d’l’enfer un tatami
Bilan on gagne pas grand-chose on perd un tas d’amis
Lui je l’ai vu pousser son frère, pour un Fеrrari sec
J’ai vu le rap poser son fеr, pour un fer à lisser
C’est pas différent chez les rats, là
On s’marche dessus je partirai dans l’indifférence générale
Triste est la couleur que le Barbu à posée
Ce n’est qu’un quart de la douleur que le parlu a causé
Ado complètement déchiré, on sème, on revend cash
S’il faut recommencer j’irai si c’est mon reuf en cage
J’ai vu l’sachet opaque fauchant des gars deters
Ces gars deters, marcher au pas, au chant des cathéters
Avant de baser, tout est drôle, j’ai goûté aux filles libres
Puis j’ai vu passer tt les drogues, et j’ai goûté au feeling
Y’a eu la boule à facette, la boule à z
La fête, le trou, la vase, la boue, la zéb
Y’a pas eu d’magie noire occulte, j’en manie moi aucune
Mais tu m’as vu faire moins de 10 au 100 des malinois au cul

[Refrain : Furax Barbarossa & L’Hexaler]
Né pour briller ou les étoiles ne vivraient pas longtemps
Les prises d’otages du désespoir, ne connaissent pas mon clan
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale
Chibani, des milliers d’vies j’ai vu défiler l’film
J’ai déterré l’éternel ou les infidèles fuient
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale

[Couplet 2 : Furax Barbarossa & L’Hexaler]
Te rappelles-tu des rodéos, de nos rallyes
Dans le rétro quand le Mondeo démoralise
Y’a ce goût que le danger avait
Quand ça secoue, des appels au secours gueulés en G. À. V
Logique y’a mon pet en cendre et un bet d’encens
J’Cogite, y’a les têtes en sangs et les têtes pensantes
Le bal est annoncé, la foule est balancée
De gauche à droite, je le fais mal on sait, là j’voulais pas danser
J’ai vu des placards à trophées, combien de perdants sans
Qu’on met à l’écart l’atrophié qu’On met les perles ensembles
Je râle dans le noir sont blotties mes rimes
Et La zik m’oubliera le temps de boire son bloody Mary
J’ai vu leur plant sanglant dégoûter gaza
Le blanc faire semblant d’écouter Kassav’
On se sent grand mais tout est cassable
Oh oui, la vie cogne sans gants, mais tous tes gars savent
Oh oui, J’ai connu bécassine, les cassettes
Le perdant parler comme un mec assis le nez cassé
J’ai vu le taux, les graphiques, les corps les trafics
Je connais la chanson, épargne dont les chorégraphies
Y a eu des larmes, des déchets, d’la poudre aux rayons “soldes”
J’ai vu des lames dans des chaires, des bouts d’oreilles au sol
Des condés sur des canassons nous gazer légalement
De grand garçons devenir paillassons, écraser les calmants
Je serais jamais serein, le Bouddha si
Le fou a préféré à la seringue, le bout d’acide
Le temps m’a dit t’es out c’est bon t’es à l’amende
Mais je suis al dans ses pattes sirotant mon thé à la menthe

[Refrain : Furax Barbarossa & L’Hexaler]
Chibani, Né pour briller ou les étoiles ne vivraient pas longtemps
Les prises d’otages du désespoir, ne connaissent pas mon clan
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale
Chibani, des milliers d’vies j’ai vu défiler l’film
J’ai déterré l’éternel ou les infidèles fuient
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale
Chibani, Né pour briller ou les étoiles ne vivraient pas longtemps
Les prises d’otages du désespoir, ne connaissent pas mon clan
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale
Chibani, des milliers d’vies j’ai vu défiler l’film
J’ai déterré l’éternel ou les infidèles fuient
Loin de l’éphémère, j’ai saisi l’occase
D’éclairer les ténèbres sous l’éclipse totale

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