PAROLES

[Intro : tag]
Hadouken

[Pré-refrain]
Quand j’étais tout petit dans mes rêves (millionnaire)
J’me voyais là où j’pars en vacances (Les Bahamas)
Putain, à l’époque, on était raide (pas d’quoi manger)
Pas beaucoup d’amour et beaucoup d’délinquance (cancre)

[Refrain]
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, un million d’parloirs et puis, de salles d’attente
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, ces fils de pute, ils savent à quoi s’attendre

[Couplet 1]
K.O, par terre, le rêve de beaucoup
Avant qu’ils fassent marche arrière, ils ont miser le double
Shalom pour les éviter, ils parlent beaucoup quand le verre s’est vidé
En vrai, si ils nous veulent morts, c’est parce qu’ils peuvent pas nous imiter
Tu sais ce que c’est une parole blessante ? J’ressens la haine, j’ressens l’essence
Mon cœur, il est tellement froid qu’en juillet, j’suis habillé comme en décembre
J’suis comme tout l’monde, j’entends les rumeurs, un jour, tu vis, un jour, tu meurs
Et mon putain d’téléphone qui sonne 3400 fois en moins d’une heure
Frérot, j’ai plus d’vie
Des fois, j’ai envie d’débrancher (chienne de ta mère)
Même si ça m’donne à manger (lové, lové, lové, lové)
Tu sais que t’es qu’un fils de pute (bien sûr)
La question : où dois-je venir me venger ?

[Pré-refrain]
Quand j’étais tout petit dans mes rêves (millionnaire)
J’me voyais là où j’pars en vacances (Les Bahamas)
Putain, à l’époque, on était raide (pas d’quoi manger)
Pas beaucoup d’amour et beaucoup d’délinquance (cancre)

[Refrain]
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, un million d’parloirs et puis, de salles d’attente
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, ces fils de pute, ils savent à quoi s’attendre

[Couplet 2]
Saddam Hussein, Riina, François Besse (et Tony Montana)
Ton Elvira, on la baise (fort), wi nhel bou lebes (fort)
Vos marabouts me blessent (fort)
Tu viens pour m’briser l’cou, le tien repart avec une laisse (fort)
Je sais que Dieu voit jusqu’au fond du cœur, justement, le vôtre est rempli de sang noir
T’as voulu m’attaquer dans le dos mais Dieu m’avait donné un miroir
J’vois le succès, je refuse d’y croire, j’me renferme dans ma tour d’ivoire
Et quand j’suis devant 10 000 personnes, bah, j’ferme les yeux, j’fais semblant de voir
Mais pourquoi te jalousent-ils ? Ne sont-ils pas contents pour toi ? (Dis-moi)
Pourtant, tu reviens de chez les morts, ta place est chez les rois (dis-moi)
Pourquoi la vérité n’est pas toujours celle que l’on croit ? (Sheesh)
C’est pour ça qu’le prédateur se fait tuer par demi-proie, Lacrim

[Pré-refrain]
Quand j’étais tout petit dans mes rêves (millionnaire)
J’me voyais là où j’pars en vacances (Les Bahamas)
Putain, à l’époque, on était raide (pas d’quoi manger)
Pas beaucoup d’amour et beaucoup d’délinquance (cancre)

[Refrain]
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, un million d’parloirs et puis, de salles d’attente
On a souffert, on a niqué des mères, on a souffert, on a niqué des mères
On a souffert, on a niqué des mères, ces fils de pute, ils savent à quoi s’attendre

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