PAROLES

Hier, j’t’ai offert un verre, j’voulais baiser ta femme, ouais
J’ai deux chaussettes Nike pour rentrer dans ta khame, eh
Merci, merci, j’ai garé l’Mercedes juste devant l’tiercé
Demain j’f’rai Bercy, j’connais le mac et la tainp’
Le tueur d’la taupe, 1.3 ça ue-t’ gratos
Oh, plata, plata, plata
J’les foure gentillement, pété, j’souris henene
T’as pas d’reum, on va attacher la tata
J’ai regardé la face, le revers était très laid
Tire pas la tronche mon pote, nous on r’vient d’L.A
Whisky, jet lag regarde la marque du bronzage
Dix tasses-pé m’sucent, sucent
Dix gus en moi comme dans une poupée russe
Moyens physiques et logistiques
Deux Glocks qui pendent à mes bretelles
J’fous mon Benelli dans l’étau
J’le scie pour vous charcler d’un peu plus près
Trente-six millions d’amis à dos
On serait locataires si on les avait gardés
J’transpire, j’dors mal
Mon sang fait des bulles, j’pense au pire
Ça conspire, c’est normal
J’en ai trois en platine, ça les fait cuir
J’vais m’nourrir d’leur haine pour survivre
J’vais mourir debout, c’est pas pour rire

J’ai roulé ma bosse, c’est nous la vermine
Une arme, un trois quart Hugo Boss (tout black)
J’suis là où ça tire
Y’a pas plus faux qu’un smile
Pas plus vrai qu’un homicide
La vie : c’est une villa, deux gosses ou dix putes dans la berline
Le truc, c’est d’se pointer à l’heure (à l’heure)
J’suis jamais en retard (jamais)
Faut qu’une femme pour ruiner un homme (son cœur)
Pour toi, j’en ai deux (chargeurs)
J’rêvais d’plein d’fric dans des sacs (tout noirs)
Aujourd’hui, on a tout (bien plus)
J’vois la traîtrise dans ton regard (j’la vois)
J’ai pas l’moindre doute (c’est sûr)

Démarre la camionnette, j’ai faim, prépare l’barbecue
Dans ta bouche, la parole des autres
On est au top, t’es qu’une putain d’marionnette
J’aime les culs, j’laisse passer les femmes
Rien qu’tu les écartes, t’es l’arnaque du siècle
J’aime le cuir qu’y’a dans l’habitacle, le tableau d’bord, les sièges couleur café crème
Dans la rame, y’a deux-trois vandales
Ils vont poser au spray l’mot “homicide”
Vu qu’la mort d’un homme, c’est un drame
Celle d’un million : une statistique
Ma go est maquillée, ma caisse aussi, j’sais qu’y’a aucun souci
T’es pas si chaud, à croire c’qu’a dit ta pussy toi, tu t’es adouci
J’suis pueblo comme FO CGT en manif’ de printemps
Maintenant, c’est l’argent d’la société qui paye nos vacances en été, Mathafack
Tous les terrains, tous les rrains-té
Glock sur les R1, sur les RR
Ça fait deux ans, j’leur met QLD
J’sors du fer, doucement la portière

J’ai roulé ma bosse, c’est nous la vermine
Une arme, un trois quart Hugo Boss (tout black)
J’suis là où ça tire
Y’a pas plus faux qu’un smile
Pas plus vrai qu’un homicide
La vie : c’est une villa, deux gosses ou dix putes dans la Berline
Le truc, c’est d’se pointer à l’heure (à l’heure)
J’suis jamais en retard (jamais)
Faut qu’une femme pour ruiner un homme (son cœur)
Pour toi, j’en ai deux (chargeurs)
J’rêvais d’plein d’fric dans des sacs (tout noirs)
Aujourd’hui, on a tout
J’vois la traîtrise dans ton regard (j’la vois)
J’ai pas l’moindre doute (c’est sûr)
Le truc, c’est d’se pointer à l’heure
J’suis jamais en retard (jamais)
Faut qu’une femme pour ruiner un homme
Pour toi, j’en ai deux (chargeurs)
J’rêvais d’plein d’fric dans des sacs
Aujourd’hui, on a tout (bien plus)
J’vois la traîtrise dans ton regard
J’ai pas l’moindre doute (c’est sûr)

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