PAROLES

[Couplet 1]
J’ai laissé tomber l’allumette, sur le planisphère, on voulait juste niquer nos vies
En bandes organisées, visiter les ténèbres
J’peux te dire comment faire, j’ai compris comment vivre mais j’sais pas comment exister
Alors j’ai dérivé pour voir là où la mer tombe
Avant d’périmer tout au bord du planisphère
Le bruit et la fureur, en bandes organisées

[Pré-refrain]
Des journées comme des chiens perdus
La fumée pique les yeux comme le vent des dunes
Un royaume pour tous les intrus
Tous les enfants des parents déçus

[Refrain]
Sans la vie, sans le sang d’hier
Quelques souvenirs dans le cendrier
Et j’ai prié pour ceux qui restent
Dans les braises encore allumées
Sans la vie, sans le sang d’hier
Quelques souvenirs dans le cendrier
Et j’ai prié pour ceux qui restent
Dans les braises encore allumées

[Couplet 2]
Quand le monde a brûlé, j’ai soufflé sur les cendres, j’en ai dessiné un autre
Beau comme un mois de décembre
Au final, j’ai tout refait le huitième jour parce qu’il faut prendre son temps pour faire les choses avec amour
Tout seul dans ma tête, je n’sais pas c’que je suis
De la chair sur un squelette ou une larme sur une ride
J’avance, sûr de moi, à chaque pas dans le vide
Regarde comme on rit en bas, tout au fond du puits

[Pré-refrain]
Des journées comme des chiens perdus
La fumée pique les yeux comme le vent des dunes
Un royaume pour tous les intrus
Tous les enfants des parents déçus

[Refrain]
Sans la vie, sans le sang d’hier
Quelques souvenirs dans le cendrier
Et j’ai prié pour ceux qui restent
Dans les braises encore allumées
Sans la vie, sans le sang d’hier
Quelques souvenirs dans le cendrier
Et j’ai prié pour ceux qui restent
Dans les braises encore allumées

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