PAROLES

Il suffit que je ferme les yeux pour t’apercevoir
Tu sais que je pense à toi, même sur un champ de bataille
J’écoute le ciel gronder, l’amour foudroie les cœurs de pierre
Pendant que le doute s’installe, le bien et le mal font la paire

J’entends que le ciel gronde, et l’amour foudroie les cœurs de pierre
Pendant que le doute s’installe, le suspense tue la peur
J’avance tout seul dans un couloir, dans un couloir

Ils m’ont tous vu dans un brouillard, dans un brouillard
La vie m’a menti c’est trop tard, c’est trop tard
Et puis j’ai croisé ton regard

T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander

J’ai grandi dans l’arène, j’aurais pas mon empire sans ma reine
Les cadavres s’empilent, sans vie, je m’enlise, toujours la même
Depuis que tu me souris c’est plus la même, même si j’ai survécu à l’arène
Je reste solide, je suis pas dans l’oubli, j’aiguise ma foi et puis mon glaive

J’entends que le ciel gronde, et l’amour foudroie les cœurs de pierre
Pendant que le doute s’installe, le suspense tue la peur

J’avance tout seul dans un couloir, dans un couloir
Ils m’ont tous vu dans un brouillard, dans un brouillard
La vie m’a menti c’est trop tard, c’est trop tard
Et puis j’ai croisé ton regard

T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander

T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
Sans me demander

J’avance tout seul dans un couloir, dans un couloir
Ils m’ont tous vu dans un brouillard, dans un brouillard
La vie m’a menti c’est trop tard, c’est trop tard
Et puis j’ai croisé ton regard

T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander
T’as pris mon cœur, sans me demander

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