PAROLES

Paroles de “Youri – Bubble Tea”

[Intro]
Roh
Ho, hu, ho
Ça, c’est tout d’suite, mon corps se consume
Tout comme un bout d’shit
Ah, j’me souviens plus, il m’faut un post-it, oh
Kush, pollen, wax, crème

[Refrain]
Je fais c’que j’veux, ils font c’qu’ils peuvent
Je fais c’que j’veux, ils font c’qu’ils peuvent
J’aime bien son bubble butt, un peu d’sirop dans mon bubble tea
Le matin, j’ai la coupe à Donald Trump
Grand cru, j’suis plus jeune que ma tise, ola
Je fais c’que j’veux, ils font c’qu’ils peuvent
Je fais c’que j’veux, ils font c’qu’ils peuvent
J’aime bien son bubble butt, un peu d’sirop dans mon bubble tea
Le matin, j’ai la coupe à Donald Trump
Grand cru, j’suis plus jeune que ma tise, ola

[Couplet unique]
Je sais c’que j’veux, je sais c’que j’veux
Fuck devenir riche si j’suis pas heureux (Oh)
Toi, reste chez toi, j’sais qu’t’es qu’une peureuse
Allez, toi, laisse-moi, j’aime pas les pleureuses
J’fais rentrer du cash par Airbnb, j’vois tout noir, j’ai l’ADN gris
Très discret, fuck la BRB, ils veulent me voler mon énergie
Irréparable comme le TRT, à la recherche du bonheur comme le “brb”
Depuis tout p’tit, on reste énervés, j’fais du mal quand j’explose comme la TNT
Dieu merci, j’ai pas encore pop, j’te demande pardon, pute, j’ai encore tort
J’ai fais confiance qu’à ma force intérieure, promis, jamais j’me forcerais
J’donne pas ma force à des gueu-sh’, avant, tu crachais dans mon dos
Ange ou démon, j’suis les deux, on a nagé dans l’eau rouge
J’crois qu’je suis né dans le Styx, toujours baigné dans le vice, han ([?])
Pute a cramé tous mes tics, mais reste même quand y a plus de fric, han (Quand y a plus de fric)
Nan, j’déclare pas tout mon biff, j’veux pas de meet-up avec le FISC, nan ([?])
Nan, j’déclare pas tout mon biff, j’veux pas de meet-up avec le FISC, nan

[Outro]
– T’entends ça ?
– J’entends
– C’est l’Sergent Donny Donowitz, p’t-être que son surnom, ça va plus t’aider à l’remettre : on l’appelle “l’ours juif”. Si tu sais qui est Aldo l’Apache alors forcément, t’as entendu parler de l’ours Juif
– J’ai entendu parler d’lui
– Dis-moi c’que tu sais
– Il frappe avec une matraque les soldats allemands
– Il leur fout l’crâne en bouilli à coups d’batte de baseball, pour être exact. J’vais t’reposer la question une dernière fois et si jamais tu r’fuses avec tout l’respect que tu m’dois, j’ai plus qu’à appeler l’ours juif. Il choppera sa belle batte et il viendra jusqu’ici pour t’défoncer la gueule avec

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