PAROLES

J’veux la décapotable comme Kennedy
Sans m’faire trouer la tête
J’suis Fabrice Luchini en Sergio Taccini
J’vois des rappeurs en latex
J’vois que les rappeurs veulent ma technique
J’écoute ma haine fuck un beatnik
Que du rhum dans l’haleine fuck un pique-nique
Ce soir j’fais tomber l’averse
Ce soir j’fais grogner l’orage, chialer la pluie
On fera peut-être la paix, on fеra sûrement l’inversе
On fera sûrement des choses qu’on pourrait même pas dire à nos mères
On parlera sûrement victoire
Puisque j’vois rien d’insurmontable
Moi j’escaladais toutes ces putains d’ardoises
Pour une paire de fesses dans la nuit noire
La joue sur le carrelage, le bruit des glaçons
La joue sur le carrelage, j’pense à r
Des envies de carnage, des rêves de garçon
Des envies de carnage, j’pense à le faire
J’pense à mon père, à mon frère et leur coeur bricolé
J’leur donnerai le mien 100 fois
Pendant que les autres n’osent y mettre que le doigt
Je saute dans la flaque les pieds les poings liés
C’est nous on stage, c’est nous on fire, c’est nous qu’on flex
C’est nous qu’on perd pas, ne nous compare pas, c’est moi l’averse
La joue sur le carrelage, le bruit des glaçons
La joue sur le carrelage, j’pense à r
Des envies de carnage, des rêves de garçon
Des envies de carnage, j’pense à le faire
Brest-même, ciel terne, des étoiles toutes noires
J’écoute le bruit des glaçons
Bouts de verre éclairent tonnes de samedi soir
J’suis déchiré mais passons
Brest-même, ciel terne, des étoiles toutes noires
J’écoute le bruit des glaçons
Six pieds sous terre on parlera de moi
Même sucé par les pucerons

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