PAROLES

L’amitié, c’est cher, violence sans gratuité, je souhaite à mes ennemis l’hépatite C
Niquer des mères, j’hésite parfois à l’faire parc’que neuf mois plus tard, moi, j’ai des quadruplés
Venu au monde pour vous traumatiser (oui), arme et violence tout automatisé
Y’a pas que de dettes qu’on t’a criblé, j’ai tiré d’loin pas besoin de dribler
Moi, ma cité, c’est les Contes de la crypte, ici, tout est animé par la dalle
Dans ma cité, y’a pas d’contre, rien qu’ça compte sa mère, Jean de La Fontaine se s’rait tiré une balle
J’dé-j’dé-j’déboule dans un fer full option, j’passe la sept, là, j’ai des émotions
J’ai vu ton clip, t’avais l’même c’était cool, à la fin tu l’as rendu à Daymolition (sku, sku)
J’ai vendu et confondu l’été et l’hiver, j’ai trop souffert pour que [?] m’fasse la misère
J’me suis défendu, j’ai tordu des chimères, la plupart de mes jnouns sont sur des civières
Ouais, le monde, j’vais m’le faire (ouais) comme une balance qui a donné mon frère (ouais)
Toi, il faudrait qu’tu survives à une avalanche pour avoir la chance d’faire d’l’hélicoptère
J’viens en claquettes à vos cérémonies, les plus claquées qu’j’ai, j’suis rigoureux (sku, sku)
En bord de mer, fini l’surimi, j’connais tous les fruits d’mer de Santorini
À la fin, j’espère que ça sera nous et dites aux gendarmes qu’ils pourront walou (walou)
C’est pas en Subaru qu’ils vont aller capturés des loups-garous
Oh lalala, callé, callé, j’ai pas les joues salées quand j’peux plus réparer (ah)
J’suis pas une pute, moi, pour parler sur eux mais j’serais pas serein tant qu’j’les aurais pas fait (ouh)
Moins fort en rap mais j’suis fort en négoce, éloigne les mioches, on peut, on les sauve
En c’moment, y’a d’la beuh qui sent la gauffre, l’hiver arrive, les gars, ça sent les loves

L’hiver arrive, les gars, ça sent les lovés
Ça recommence, y’a pas besoin d’innover
L’hiver arrive, les gars, ça sent les lovés
Débite, débite, débite, débite, débite, débite avant d’te sauver
Et ça sent les lovés, ça sent les trophées et ça sent les procès
Ouais, ça sent les lovés, ça sent les trophées et ça sent les procès
Et j’me sens troublé, j’voulais respirer, j’ai la tête sous l’eau
Faut qu’on reste soudé, tout baiser, mon pote, c’est un vrai boulot
Et j’me sens troublé, j’voulais respirer, j’ai la tête sous l’eau
Faut qu’on reste soudé, tout baiser, mon pote, c’est un vrai boulot

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