PAROLES

Paroles de “Bekar – Coloris”

[Refrain]
On pense aux autres, quand est-ce qu’on pense à soi-même ?
Quand l’intérieur est fade, qu’il manque de coloris
J’regarde derrière, j’y vois rien d’sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Toujours trop d’questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J’ai pas envie d’tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul

[Couplet 1]
T’as l’impression d’tout faire pour quelqu’un
D’être là dans n’importe quel cas mais qu’ça va pas dans ton sens (nan, nan)
Tu t’sens unique comme Peter Parker
Ta vie, c’est des tentatives ratées, c’est des hits markers
Fuck cette life, putain d’étrange jeunesse
Tard la night, j’ai l’sang chaud comme un homme de l’est
Roubaisien, moi, j’voulais voir Los Angeles
Très peu d’larmes et j’compte même plus les litres de sang qu’je laisse (je laisse, je laisse, je laisse, je laisse)
Et mon froc, jamais j’le baisse (nan)

J’me suis fait d’peu mais j’veux mailler quand même
P’tit, j’voulais des Nike comme ceux qui trainent dans les allées de Hem
Nan, j’oublie pas celle qui m’a épaulé quand j’ai quitté l’foyer
L’amour d’une vie ou les années de haine (les années de haine, mmh, mmh)

[Refrain]
On pense aux autres, quand est-ce qu’on pense à soi-même ?
Quand l’intérieur est fade, qu’il manque de coloris
J’regarde derrière, j’y vois rien d’sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Toujours trop d’questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J’ai pas envie d’tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul

[Post-refrain]
Toujours trop d’questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J’ai pas envie d’tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul

[Couplet 2]
Petit, ce monde m’a mangé, maintenant, j’ai des haut-d’cœur
La nuit, j’fais des rêves de baisé où j’fuis l’danger comme Walter
Les miens me disent discret, j’sors de moins en moins
J’écris et j’me sens d’mieux en mieux quand y a un disque qui s’créé
Quand j’travaille trop, j’suis irritable, ça m’apaise plus quand j’tire une taffe
La drogue, c’est mort, c’est noir sa mère, y a rien d’plus véritable
On voulait vivre de l’art, ouais (de l’art)
Les accidents, ça court les rues ici, les bords de route deviennent des ruisseaux de larmes
C’est bête à dire mais parfois, juste suffit d’y croire
J’sais pas s’il vaut mieux être face à un mur ou face à un miroir
J’ai servi dans des banquets, coupes de champagnes aux banquiers
J’sortais des clips, parfois, j’écris comme si cette vie me manquait (cette vie me manquait, cette vie me manquait, cette vie me manquait)

[Refrain]
On pense aux autres, quand est-ce qu’on pense à soi-même ?
Quand l’intérieur est fade, qu’il manque de coloris
J’regarde derrière, j’y vois rien d’sensationnel
En route vers rien, véhicule non homologué
Toujours trop d’questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J’ai pas envie d’tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul

[Post-refrain]
Toujours trop d’questions existentielles
Sous alcool, couleurs se distortionnent
J’ai pas envie d’tout devoir forcer
Écoute personne, écris ton histoire seul

[Outro]
Coloris, j’ai b’soin d’coloris
Coloris, j’ai b’soin d’coloris
Coloris, j’ai b’soin d’coloris
Coloris, j’ai b’soin d’coloris

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