PAROLES
Traduction de “Morad – Cristales”
Et pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ? Carreaux
Ma mère m’a dit : “Attention à celui qui est sur le côté”
Qui sourit toujours quand tu as tout
Tout ça, toi seul l’as accompli, ne crois jamais au succès des autres
Je lui ai répondu : “Maman, je ne crois pas, je pense que maintenant, ce sont tous mes amis”
Elle, d’ajouter : “Un ami n’est pas d’aujourd’hui, mais celui qui a a été avec toi dans les mauvais moments”
Je lui ai répliqué froidement, je sentais que mon esprit me disait quelque chose
Personne ne nous donnait de plat à table, personne ne s’inquiétait de savoir si c’était chaud
Elle m’a dit : “Même si l’on ne t’a rien donné, aide celui que tu que tu vois dans une situation pire”
Dieu te le rendra au centuple, ce sera meilleur avec amour, n’aie jamais de rancœur”
J’y ai déjà pensé, j’ai oublié tous les maux, j’ai su qui étaient mes amis et qui ne me convenait pas
Je lui ai dit : “Maman, pourquoi, les procureur, quand tu n’as pas été là, disaient : “Tu ne sors pas” ?”
Je fais le bien, et parfois même, on m’arrête
Et, dis-moi, maman, pourquoi ils m’envient?
Maman, je ne veux plus jamais te voir à l’intérieur
Et ils me laisseraient mort si tu mourais
Je vois comme ils sont bons, tous ces illégaux
Maman, dis-moi, pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Maman, dis-moi, pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Je pleure comme si ma vie ne valait rien
Elle m’a répondu calmement et m’a souri
Elle m’a dit : Toi-même, dans la rue, tu as cherché le froid”
Tu as dit : “Maman, j’ai toujours eu confiance en cet ami”
Et, fils, il n’est plus là quand tu es détenu
Je lui ai dit : “Maman, je hurlais toujours à l’aide”
Je ne voyais que les grilles et le déluge
Je voyais que, dans la rue, tout était plus sérieux
Et personne ne se mettait au milieu
Et c’est un changement, seul l’intérêt t’aide
Et c’est un changement : “Fils, tu ne le vois pas ?”
Peu t’aiment, peu t’aiment
Et, dis-moi, qui sera là quand tu mourras ?
Et maman, j’imagine parfois, un chemin où ils sont tous avec moi
Et maman, je marche là où ils sont ? Et où sont-ils allés après être partis ?
Je fais le bien, et parfois même, on m’arrête
Et, dis-moi, maman, pourquoi ils m’envient ?
Maman, je ne veux plus jamais te voir à l’intérieur
Et ils me laisseraient mort si tu mourais
Je vois comme ils sont bons, tous ces illégaux
Maman, dis-moi, pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Maman, dis-moi, pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Je pleure comme si ma vie ne valait rien
Pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Maman, dis-moi, pourquoi fallait-il que je te voie à travers des carreaux ?
Je pleure comme si ma vie ne valait rien
Comme si ma vie ne valait rien
