PAROLES

Paroles de “FEMTOGO & Neophron – GAISERIC”

[Intro]
Il doit rester quelques photos du p’tit qu’j’étais avec le sourire
Celles que maman sort pour les anniversaires
J’entends encore sa voix qui m’dit : “Je t’en prie fais les périr”
“Ouvre les à l’épée”, “Fais les souffrir comme t’as souffert”

[Couplet 1]
Le ciel s’est noircit tellement les nuages sont tombés
Donc y a un fantôme dans la ville avec un masque, un EDC
J’envoie des addy dans la forêt, j’rеste toujours dérangé
Quelques sеcrets dans l’fond d’un flash, y a que la lune pour relater
Des coups d’pieds dans les cailloux j’espère bientôt dans les billets
Ils voulaient qu’j’canne comme les GI
J’suis revenu avec un keffieh
Cal.12, les corbeaux battent les ailes à chaque tir
BRAVO-6 s’déplace avec un merdeux sous le back seat
Mon chirurgien, c’est Double K
J’me r’fais une face tout les printemps
Comme un schizophrène, comme ce type qui passe pas les trente ans
La patte bloqué dans un piège d’ours
Le petit loup s’est transformé en Akela
Dans l’fer, je vois, tout blanc
J’ressors de la clairière
J’ai pas trouvé Schierke j’ai niqué tous mes points de vies
À l’affût sur les [?] odeur d’pourri d’eux qui émane
S30V dans l’sternum, à descendre jusqu’à l’artère rénale

[Pont]
Encore ce soir il pleut sur les joues d’un ange
Son reflet sur le bord de rive
Liquide orange aurore
Faisceau incandescent
Encore j’frôle l’anhédonie

[Couplet 2]
Encore j’frôle l’anhédonie, avec eux, j’fais pas de rhétorique
Prends garde dans les orties, y a des trucs longs à la Gaiseric
Une marre de sang, une bête fendue ça fera un beau générique
Le reflet du feu, dans les yeux de l’antagoniste
De l’aconite, je répands, une lente agonie
J’les entasse dans la barre de feed comme FaZe Agony
Toujours près d’la rivière sous flaki comme un gougou
Van Bozo always goofy, j’fais ça tout doux
Au pied la TEAM-6 chaque projet, c’est un chantier
À la fin, si tout se passe bien, dans l’salon, j’ai un chandelier
Pour l’instant dans la cahute
Je fomente à la Kahus
Venu pisser sur leurs aïeux j’écoute pas d’jà leur laïus

[Outro]
On ira la où le vent nous mène
Là où elles sont vertes les plaines, là où se referment les plaies
Mauvais, j’suis de race humaine
J’essaie d’assurer, d’écraser mes congénères
Dans le cœur, l’océan se déchaîne
Le môme avait des rêves mais le monde n’en a que faire
On ira la où le vent nous mène
Là où elles sont vertes les plaines, là où se referment les plaies
Mauvais j’suis de race humaine
J’essaie d’assurer, d’écraser mes congénères
Dans le cœur l’océan se déchaîne
Le môme avait des rêves mais le monde n’en a que faire

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